A signaler aussi, que cela n'a rien à voir avec les fantasmes des «études» de «genre». J'ai fait les premiéres pages sur ce thème en 2004, bien avant que l'on parle de ces imbéciilités. De plus, on m'a accusé d'être «transphobe», sur un forum raté. En vérité, je n'ai rien contre les personnes trans (tant qu'elles ne touchent pas aux enfants). Je dis juste qu'elles n'ont pas besoin de tout l'attirail idéologique des «études» de «genre» pour essayer de changer de sexe. Les «études» de «genre» ne font que parler en leur nom, comme le font toutes les tentatives marxistes d'infiltrer des mouvements qu'elles n'ont pas créés, pour les écraser en finale.

Chez les likpas, changer de sexe est naturel, sur Terre de nombreuses espèces animales le font, et la science fiction a parfois abordé ce thème. Je me souviens par exemple d'un roman avec des hommes et des femmes haploïdes et des neutres diploïdes, mais je ne me rappelle pas le titre.

Vous ne manquerez pas de vous demander comment les Doudounelles ont obtenu des vêtements, et pour commencer pourquoi elles en auraient, dans un monde encore très chaud. C'est un peu comme le slip rouge de Mowgli (version Disniais) ou le string à pois de Tarzan: rien n'indique pourquoi ni comment ces personnages en auraient. La vraie raison n'est pas si jolie jolie, et elle ne vient pas de l'histoire: elle s'apelle auto-censure des auteurs, dans un monde Terrien encore trés coincé et hypocrite.

Bon, il y a un autre problême: les doudounelles issues de métamorphose, même si elles ont l'air d'enfants, étaient déjà adultes avant de commencer, et elles le restent tout le long du processus. Je m'abstiens tout de même de les montrer engagées dans des activités sexuelles, ni même de sous-entendre qu'elles en auraient. Ainsi, si quelqu'un m'accuse de pédofilie, c'est lui qui aura un procès. Je rigole pas, j'ai déjà mis un pédo au tribunal.

Cette interprétation médiatique de la fête des doudounes est «fortement inspirée» d'un événement réel: la façon dont les médias français ont traité la manifestation anti-nucléaire de Creys Malville en 1977, présentant les anti-nucléaires comme violents, alors que la manifestation avait été clairement annoncée comme Non-violente. Pour accréditter leurs propos, ils avaient dispersé des provocateurs dans la manif, chacun suivi d'une douzaine de photographes. Je me souviens en avoir ceinturé un, mais nous étions trop peu nombreux à comprendre cette nécessité. Ce sont ces provocateurs qui se sont affrontés avec la police, pas les vrais anti-nucléaires.

C'est à cette occasion que j'ai eu l'idée de la conclusion de la page suivante, malheureusement trop tard (le lendemain). Je ne sais pas si mes camarades anti-nucléaires auraient compris, de toutes façons, car en 1977 la Non-violence était encore un concept récent et mal compris. Ou bien ils n'avaient pas lu le monde des Ā de Van Vogt, qui y avait pensé bien avant! Les likpas sont nativement Ā, eux.